vendredi 4 septembre 2009

Québec, le choc culturel : vos premiers pas






Afin de bien nous intégrer dans ce pays, nous avons eu le droit à une réunion d'information sur les façons de se comporter et leurs modes de vie qui sont différents des nôtres.

Même si les gens ne vous connaissent pas, ils vous tutoient. le contact est facile contrairement au partage qui est difficile (exemple : aller chez les gens). Pour dire “bonjour” c'est “allo”; quand on part d'une pièce : “bienvenue”.
Quand vous êtes invités, il faut emmener son vin ou la bière et si jamais elle n'est pas finie vous la ramenez chez vous; on n'offre pas de fleur à la maitresse de maison (c'est malpolis)
ce sont les filles québécoises qui font le premier pas vers les garçons, et vice versa les garçons attendent que les filles fassent le premier pas.
l'amitié est plus superficielle qu'en Europe
les relations avec le travail sont très professionnelles : 9H-17h (sans aucune pause café)

- vivre dans la cité :
la ville de Québec, est une ville basse, assez étalé (750 000 hab). On l'appelle aussi la “belle assoupie du Québec” car c'est une ville âgée, de fonctionnaires. elle tend à se rajeunir et à se dynamiser

- les logements québécois :
il n'y a pas d'ascenseur, des fenêtres guillotines, les WC sont bas et ne sont jamais séparés de la salle de bains

- les prix Hors Taxes :
quand vous décidez d'aller au restaurant, les cartes n'indiquent pas la taxe à payer. il faut donc rajouter sur l'addition les taxes et le pourboire (tips). attention pour le pourboire, il faut obligatoirement donner quelque chose, il faut suffisamment en donner pour être bien vu.

- la nourriture :
il y a plusieurs choses ici qui sont plus cher qu'en France: le fromage (9$ le camembert) en plus il est très mauvais, le vin, et le pain. il existe une multitude de choix de pain de mie très varié. le seul moyen de trouver du pain “dur” est d'aller dans des épiceries fines. il n'existe pas de lait UHT. Ah oui une dernière chose, pour les amateurs de charcuterie, je vous déconseille d'essayer d'en manger ici. Pour plusieurs raisons: c'est très cher et contrairement en France où le contrôle vétérinaire est effectué toutes les semaines, il semblerait qu'ici ce soit seulement une fois par an

je vais faire un article distinct sur les spécialités culinaires et le vocabulaire québécois

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire